FESTIVAL GRAND PUBLIC //
27 NOV. - 8 DÉC. 2018
LE PROGRAMME
EN UN COUP D’ŒIL
PALMARÈS 2018
Lors de la séance de clôture, samedi 8 décembre 2018, le jury a décerné les nominations "Hérisson d’or", "Hérisson d’argent" et "Coup de cœur" parmi les films projetés. Les scolaires choisiront également leur "Coup de cœur jeune public" à la fin du festival scolaire.
Catégorie Nature
Hérisson d'or : "Premières loges" de Vincent Chabloz
Hérisson d'argent : "Ce qui se cache sous la surface" de Bertrand Lenclos
Catégorie Développement durable - Environnement
Hérisson d'or : "Modifié" d'Aube Giroux
Hérisson d'argent : "Loups et moutons" d'Axel Falguier
Catégorie Court métrage
"L'avis des mouches" de Paul-Aurélien Combre
Coup de cœur du jury
"La litière forestière, un univers inconnu" de Jean-Pierre Bertrand et Patrick Bodu
Coup de cœur du jeune public
Le documentaire de 32 minutes de Anne et Erik Lapied « Survivre – Animaux des Alpes en hiver » qui a obtenu le plus de voix : 806 voix pour 2988 votants parmi les enfants ayant assisté au festival scolaire.
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JURY 2018
Le jury décernera les nominations « Hérisson d’or » et « Hérisson d’argent » et le comité attribuera son « Coup de cœur » parmi les films projetés. Les scolaires décerneront également leur « Coup de cœur ».
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Marie Arnould
Journaliste spécialisée en environnement, Marie Arnould a fait des études de lettres et d’anglais à Lyon puis de journalisme à l’université d’Oregon, aux Etats-Unis, avant de faire ses premières armes en presse quotidienne régionale, au journal La Montagne. Passionnée d’animaux et d’environnement depuis toujours, elle s’est engagée comme militante puis comme salariée au sein de l’association SOS Loire vivante, avec laquelle elle s’est battue pour l’abandon de deux barrages sur la Loire et la protection du saumon, emblème d’un écosystème vivant.
Rédactrice en chef des 4 saisons depuis 2007, elle y transmet sa passion pour la nature et le jardin, et son engagement en faveur de l’écologie. Une écologie pratique, quotidienne, sans prêchi-prêcha moralisateur mais avec une touche de poésie et d’émotion !
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Photo : JJRaynal
Thibaut Lacombe
Thibaut habite Grenoble mais passe souvent le bout de son nez au dessus des montagnes pour voir si c'est aussi beau derrière. Naturaliste de métier, il prend parfois une caméra pour mettre en avant les animaux, les plantes, la rosée, les cailloux ou les nuages et en profite pour interroger et s'interroger sur des sujets qui lui tiennent à cœur : la parole dans les conflits d'usage, le sauvage... Il achève en ce moment un film sur la conciliation des pratiques au sein de la Réserve Nationale des Hauts de Chartreuse.
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Photo : Nathanaël Vetter
Marlène Baudet
Animatrice nature installée à Grenoble, Marlène travaille auprès d'enfants pour les sensibiliser à la fragilité de la nature et à sa beauté. Son intérêt pour le monde autour d'elle et pour le terrain l'a d'abord conduite vers le journalisme puis vers les sciences environnementales, et c'est en Scandinavie qu'elle a posé ses valises quelques mois afin d'étudier les forêts boréales. Peu résistante à l'appel des grands espaces, elle passe une grande partie de son temps libre dehors, en montagne, ou en voyage vers des contrées nordiques.
Lucille Lheureux
Lucille Lheureux, élue écologiste à la ville de Grenoble, adjointe au maire en charge des espaces publics et de la nature en ville est aussi enseignante en histoire et en géographie dans un collège grenoblois.
Soucieuse de la protection de l’environnement et des populations les plus fragiles face aux dérèglements climatiques elle s’est engagée en 2009 au sein d’EELV, persuadée que l’action militante politique est une des clefs du changement.
Au-delà de son action quotidienne par son métier et son engagement politique, elle à plaisir à accueillir les petites bêtes et les petites plantes dans son jardin, ou parcourir les delta européens, en vélo et en famille, à l’affût des élégants échassiers et autres oiseaux.
Roger Marciau
Écologue passionné de botanique, Roger a travaillé plus de 20 ans dans le conservatoire d'espace naturel de l'Isère-Avenir à la préservation des plus beaux éléments de notre patrimoine naturel. Son compagnonnage avec la FRAPNA date de plus de 30 ans du temps où il animait sa commission flore. Il est également sensible à l'aspect pédagogique et esthétique des films de nature depuis le temps où, animateur nature, il dépouillait les cinémathèques du ministère de l'agriculture et du Canada pour les projeter devant un public scolaire au centre d'initiation nature de Rochasson à Meylan. Le film vedette d'alors s'appelait « la fin d'un mythe », il traitait de la réhabilitation d'un bel animal, le loup, déjà !